Philippe Alcoy
Ce n'est pour en rire. Ce n'est pas pour en pleurer. Constater,
comprendre. Le niveau d'aliénation dans la société capitaliste atteint
des sommets impensables. C'est l'extase de la consommation dans un monde
de misère et de pauvreté. C'est la réalisation de soi, dans un monde où
des millions n'ont même pas de quoi manger. C'est le cynisme d'un
système aberrant et absurde. Un système qui nous ramène à l'animalité.
Un système l'individualisme, le "sauve qui peut", chacun pour sa peau.
Un système qui encourage les comportements les plus bas, les plus
violents, les plus destructeurs, avilissants. Les puissants, les
exploiteurs, les riches n'ont pas besoin de participer de ce néfaste
show. Ils regardent, ils se régalent, ils méprisent ces pauvres se
tapant dessus. Mais ils adorent. Ils veulent plus de ça. C'est ce qui
les arrange. C'est une victoire idéologique pour les capitalistes, les
exploiteurs. Les exploités se battent entre eux pour acheter les
produits qu'eux mêmes ont produit.
Mais la farce ne peut pas durer longtemps. Le spectacle doit continuer mais il ne durera éternellement. La misère guette à la porte de millions dans le monde. L'exploitation quotidienne nous détruit physiquement et psychologiquement. Des voix, les plus conscientes, s'élèvent déjà contre cet absurde, contre cette barbarie. Des individus refusent de voir l'humanité rétrogradée au stade d'animalité. Des gens se battent déjà. La société bâtie par ce système est plus que jamais une cage, grise et sale. Insupportable. Mais elle craque. Il y a des brèches, des fissures. Elle n'explosera pas toute seule. Rien de bon ne viendra tout seul. Et c'est pour cela que nous devons être des centaines de millions à mettre fin à tout ce monde barbare ; nous serons des centaines de million, des milliards à le faire.
L'humanité est belle, merveilleuse. Notre planète est incroyable, puissante. La nature épatante. Nous n'avons pas besoin de vivre dans ce carcan totalitaire. Dans la grisaille. Nous avons juste besoin de profiter de ce monde et de cette vie. Détruisons les monstres que l'humanité elle-même a créés, pour pouvoir enfin profiter de l'humanité, de notre planète. On les aura et notre victoire sera grandiose.
Mais la farce ne peut pas durer longtemps. Le spectacle doit continuer mais il ne durera éternellement. La misère guette à la porte de millions dans le monde. L'exploitation quotidienne nous détruit physiquement et psychologiquement. Des voix, les plus conscientes, s'élèvent déjà contre cet absurde, contre cette barbarie. Des individus refusent de voir l'humanité rétrogradée au stade d'animalité. Des gens se battent déjà. La société bâtie par ce système est plus que jamais une cage, grise et sale. Insupportable. Mais elle craque. Il y a des brèches, des fissures. Elle n'explosera pas toute seule. Rien de bon ne viendra tout seul. Et c'est pour cela que nous devons être des centaines de millions à mettre fin à tout ce monde barbare ; nous serons des centaines de million, des milliards à le faire.
L'humanité est belle, merveilleuse. Notre planète est incroyable, puissante. La nature épatante. Nous n'avons pas besoin de vivre dans ce carcan totalitaire. Dans la grisaille. Nous avons juste besoin de profiter de ce monde et de cette vie. Détruisons les monstres que l'humanité elle-même a créés, pour pouvoir enfin profiter de l'humanité, de notre planète. On les aura et notre victoire sera grandiose.
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